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Le Petit Paris (Mulhouse)

  • emmanuel geng
  • 22 août
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 23 août



Juste en face de "La Galerie" (rue du Sauvage) et de Volfoni, Le Petit Paris se revendique comme bistronomique, mêlant tradition et créativité à partir de produits de saison. Il est vrai qu'au début l'établissement tenait toutes ses promesses : la magie opérait, on était sous le charme, mais depuis c'est comme si l'étincelle créative du chef avait un peu perdu de sa superbe, allez savoir pourquoi !

Le cadre : deux salles (dont l'une avec véranda) très sobres - voire austères - mènent sur une petite terrasse à même la rue passante histoire de, peut être, avoir un peu plus de clientèle.

Une petite touche d'originalité par des luminaires en chapeau melon (plutôt Londres que Paris, du coup) ou des fresques en relief sur un thème vinicole amènent un peu de cachet à l'ensemble.

Comme tous les commerces du coin, optez pour les parkings environnants car se garer en ville devient un véritable parcours du combattant, surtout fin de semaine.

Le service : plutôt efficace ! Des serveurs au patron, ils sont constamment aux petits soins, réactifs à vos sollicitations et de bon conseil. Les propositions du sommelier restent cohérentes quant à vos plats, même si vous n'auriez pas pensé choisir une telle bouteille (ou verre) en association avec votre assiette.

La carte : bien pensée car ni trop ni trop peu. Il y a du travail dans chaque plat, une certaine recherche esthétique tant dans le contenant que le contenu.

Dommage que nous ayons remarqué le même accompagnement sur deux différentes assiettes alors que ce n'était supposé pas être le cas (problème d'intendance en cuisine ?). La subtilité d'avant semble hélas aussi s'être un peu étiolée au fil des années même si cela reste, quand même, pas mauvais en général.

En conclusion : une adresse qui fait tout pour essayer de vous combler à des prix corrects et un service aux petits oignons même en période de forte affluence. On en a pour notre argent, pas plus pas moins.

A déplorer cette absence de subtilité gustative, que nous avions découvert jadis, et cette chaleur étouffante au fond de la salle secondaire où la véranda était restée fermée malgré la canicule.



Râble de lapin et caviar d'artichaut
Râble de lapin et caviar d'artichaut
Filet de dorade royale et déclinaison de courgettes
Filet de dorade royale et déclinaison de courgettes
Magret de canard, jus corsé et frite de panisse
Magret de canard, jus corsé et frite de panisse
Tartelette fumée romarin/abricot et sorbet abricot
Tartelette fumée romarin/abricot et sorbet abricot

2 commentaires

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Invité
28 août
Noté 2 étoiles sur 5.

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bruebach
21 août

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